
Auteur : Yoichi Takahashi
Titre : Captain Tsubasa
Nombre de tomes : 37 (série complète)
Genres : Shonen - Nekketsu
Édition : Glénat
Titre : Captain Tsubasa
Nombre de tomes : 37 (série complète)
Genres : Shonen - Nekketsu
Édition : Glénat

Tsubasa est un garçon de 11 ans qui ne vit que pour le football. Alors qu'il vient d'emménager dans une nouvelle ville, il surprend deux écoles rivales qui se disputent le terrain de foot municipal.
Impressionné par Wakabayashi, qui prétend être le meilleur gardien de but du Japon, il le défie en duel de façon spectaculaire.
C'est alors que Tsubasa se fait remarquer par Roberto, un ancien membre de l'équipe du Brésil, qui deviendra son entraîneur personnel pour faire de ce jeune génie le plus grand joueur de foot japonais !
Impressionné par Wakabayashi, qui prétend être le meilleur gardien de but du Japon, il le défie en duel de façon spectaculaire.
C'est alors que Tsubasa se fait remarquer par Roberto, un ancien membre de l'équipe du Brésil, qui deviendra son entraîneur personnel pour faire de ce jeune génie le plus grand joueur de foot japonais !


Pourquoi ce manga ? Certainement pas pour ces dessins ! Ayant un grand frère, il faut savoir que j'ai grandi devant le dessin animé Olive et Tom. Tous les midi, nous avions notre rendez-vous quotidien pour un nouvel épisode.
Alors je ne sais pas si c'est à force de regarder ou simplement parce que j'aime bien le football, mais c'est le seul manga sportif avec lequel j'ai fini par totalement accrocher.
Du coup, lorsque j'ai appris que Glénat allait ressortir une édition de la première série, j'ai sauté sur l'occasion de connaitre l'histoire originale.
Avant d'entrer un peu plus dans les détails, j'aimerais parler des dessins, qui sont très important dans un manga. Comme je le disais précédemment, ce n'est pas pour les dessins que je lis cette série.
En effet, ils sont assez simpliste, parfois même un peu grossier et brouillon. Mais le fait que le manga a plus de trente ans doit peut-être jouer dans ce détail. En dehors de ça, l'histoire est bien construite, très évolutive.
Je n'ai pas eu l'impression d'un copier/coller, chaque match est différent. On suit des enfants qui grandissent et deviennent petit à petit des hommes ce qui ce voit assez bien dans les dessins.
Le football est bien entendu au c½ur de l'histoire. Je trouve d'ailleurs le manga assez réaliste sur ce sujet. Il permet de bien comprendre les règles du foot, les différentes stratégies, le rôle d'un capitaine... Ce qui est un bon point et permet d'avoir un bon équilibre avec le coté complètement imaginé, notamment leurs frappes surpuissantes.
En dehors du sport dont je ne vais pas parler éternellement car il n'y a pas grand chose à en dire, ce que j'apprécie particulièrement c'est de voir un gamin passionné réussir à accomplir son rêve.
D'autant plus que Tsubasa Ohzora est assez touchant. C'est un leader né, que se soit sur le terrain ou dans sa bande d'amis mais c'est aussi quelqu'un qui peu succomber au doute. Il est toujours présent pour ses amis, mais il a lui aussi besoin de ce soutien et cette confiance si particulière qui existe entre eux.
C'est peut-être un manga qui a pour thème un sport, mais pour moi ça va au-delà du football. La chose primordiale que l'auteur a voulu transmettre c'est la beauté de l'amitié et l'accomplissement d'un rêve.
Ce qui rend Tsubasa si fort et qui lui permet d'accomplir son rêve, d'aller jusqu'au bout, c'est toutes les rencontres qu'il fait grâce au football et qui deviennent par la suite ses meilleurs amis. C'est ça, sa plus grande force !
Et, pour ceux qui s'interrogeraient, je tiens à préciser qu'il y a quelques histoires d'amour également. Elles ne sont pas au premier plan, parfois même juste sous entendu, mais elles sont quand même présentes.
Alors je ne sais pas si c'est à force de regarder ou simplement parce que j'aime bien le football, mais c'est le seul manga sportif avec lequel j'ai fini par totalement accrocher.
Du coup, lorsque j'ai appris que Glénat allait ressortir une édition de la première série, j'ai sauté sur l'occasion de connaitre l'histoire originale.
Avant d'entrer un peu plus dans les détails, j'aimerais parler des dessins, qui sont très important dans un manga. Comme je le disais précédemment, ce n'est pas pour les dessins que je lis cette série.
En effet, ils sont assez simpliste, parfois même un peu grossier et brouillon. Mais le fait que le manga a plus de trente ans doit peut-être jouer dans ce détail. En dehors de ça, l'histoire est bien construite, très évolutive.
Je n'ai pas eu l'impression d'un copier/coller, chaque match est différent. On suit des enfants qui grandissent et deviennent petit à petit des hommes ce qui ce voit assez bien dans les dessins.
Le football est bien entendu au c½ur de l'histoire. Je trouve d'ailleurs le manga assez réaliste sur ce sujet. Il permet de bien comprendre les règles du foot, les différentes stratégies, le rôle d'un capitaine... Ce qui est un bon point et permet d'avoir un bon équilibre avec le coté complètement imaginé, notamment leurs frappes surpuissantes.
En dehors du sport dont je ne vais pas parler éternellement car il n'y a pas grand chose à en dire, ce que j'apprécie particulièrement c'est de voir un gamin passionné réussir à accomplir son rêve.
D'autant plus que Tsubasa Ohzora est assez touchant. C'est un leader né, que se soit sur le terrain ou dans sa bande d'amis mais c'est aussi quelqu'un qui peu succomber au doute. Il est toujours présent pour ses amis, mais il a lui aussi besoin de ce soutien et cette confiance si particulière qui existe entre eux.
C'est peut-être un manga qui a pour thème un sport, mais pour moi ça va au-delà du football. La chose primordiale que l'auteur a voulu transmettre c'est la beauté de l'amitié et l'accomplissement d'un rêve.
Ce qui rend Tsubasa si fort et qui lui permet d'accomplir son rêve, d'aller jusqu'au bout, c'est toutes les rencontres qu'il fait grâce au football et qui deviennent par la suite ses meilleurs amis. C'est ça, sa plus grande force !
Et, pour ceux qui s'interrogeraient, je tiens à préciser qu'il y a quelques histoires d'amour également. Elles ne sont pas au premier plan, parfois même juste sous entendu, mais elles sont quand même présentes.

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